mardi 10 février 2009

Ailleurs...






lundi 9 février 2009

Ceci est la dernière note



Je répète le titre : Ceci est la dernière note.





Je précise, ceci est le dernier...


DEMENAGEMENT


T'as tout compris.

Je pourrais faire là toute une explication stérile des raisons du pourquoi du comment du quand, mais je dirais que c'est en grande partie la faute à Valérie.

Concept expliqué en 2 mots :

Pourquoi je me fais ch*** à avoir 2 blogs ?



Retrouve-moi (si tu veux hein, j'te force pas) sur Mince de Mine (@blogspot) dès tout de suite.


Ah et promis, c'est le dernier déménagement.
Si Mince de Mine (@blogspot) devait me lasser, ce sera la fin des haricots en robe de chambre.


Demain, ici, une dernière note de redirection.
Demain, là-bas, une petite saga sur mon boulot.


dimanche 8 février 2009

Blanc comme neige...



Tu n'aimes pas trop la neige ?


Tu ferais bien de ne pas venir à Fribourg dans ce cas...






vendredi 6 février 2009

Le n'imp qui fait semblant


Lecteur chéri, je fais tout d'abord appel à ta culture générale.


Tu connais l'Air Guitar ?

En somme, ça consiste à jouer de la guitare, sans guitare.

Ca me fait penser à cet étudiant d'échange hongrois qui, durant notre voyage d'études à Cracovie (il aura vu du pays lui) avait commandé une pizza aux épinards... sans épinards. Je me souviens de la tête de la pauvre serveuse polonaise qui doit se tirer des balles aujourd'hui encore.

Donc, l'Air Guitar .

Le jeu est simple. Il faut, le temps d'un morceau, se prendre pour le guitariste de Metallica, AC/DC, Iron Maiden, Sepultura, Juda's Priest, Black Sabbath.
Pas seulement pour le guitariste en fait. Dans l'idéal, le champion de Air Guitar se démarquera en campant à la fois le joueur de gratte, le chanteur, le bassiste (mais pas la batterie, là il aurait l'air carrément trop con sans batterie).

L'Air Guitar est déjà passé au rang de discipline "sportive". Des concours, championnats et autres défis sont organisés partout de part le monde.

Tiens, une petite vidéo du champion du monde 2007 de Air Guitar : Ochi Yasuke (c'est surtout fun à partir du milieu).


Samedi passé, nous étions au premier championnat fribourgeois de Air Guitar .
Comme les images sont mille fois plus parlantes que les mots (et que j'ai déjà assez parlé), je te laisse avec les quelques vidéos que j'ai faites.

Ok, la qualité est pas top-top, mais c'est mieux ça que rien, non ?


Finaliste 1 : Hellman



Finaliste 2 : Vic Rock


Challenge du jour : dire 7 fois "Air Guitar" dans la même note.

Réussite totale.


P.S: Après vérification, il s'avère donc que le vainqueur était Vic Rock (oui bon, une nana...).


jeudi 5 février 2009

Le micro sous la gorge du Concombre Masqué




Chère lectrice, cher lecteur, bonjour.

Les jeudi, quand je daigne me sortir les pouces de l'arrière-train, je sais que tu trépignes d'impatience à l'idée de lire nos interviews absolutely fabiouleuse.

Aujourd'hui, j'ai décidé de torturer un certain Concombre Masqué.

Concombre Masqué est en fait un vil geek-otak de base.

Pourquoi je me permets de dire ça de ma victime, qui a sûrement déjà assez souffert ?

D'une part car il dit cela de lui-même, ce n'est donc pas une vraie insulte.

D'autre part, il faut dire que depuis quelques temps, j'ai l'impression que notre bébé appelé "Micro sous la Gorge" (oui je sais, on a vu mieux comme prénom) a atteint l'adolescence et échappe quelque peu à notre contrôle.

Toute méthode d'éducation l'a prouvé, il faut savoir remettre dans le droit chemin les âmes égarées.



Encore une fois, tout contenu est indépendant de notre volonté et si j'en prends plein la tronche dans la vidéo, on va dire que c'est pour la bonne cause. Je sais pas quelle cause, mais ça doit être la bonne.

Je te laisse en compagnie de Concombre, amuse-toi bien, longtemps, intensément et n'oublie pas de laisser un commentaire pour dire si tu as apprécié l'interview, le personnage, les réponses ou encore comment Zia se fait casser propre en ordre.

C'est parti !




1. Toi-même, ton blog, ta vie, ton œuvre, tes fails, tes ouahchuistropfort ?

Concombre masqué : 18 ans, lion/cheval, banlieue parisienne. Etudes littéraires, environnement scientifique, aspirations artistiques. Juriste en herbe mais ceinture noire de procrastination et champion olympique du « j’sais pas quoi faire. » Eternel dépressif et insatisfait. Dans la vie comme dans le boulot, je suis toujours en avance ou à la bourre. Je suis décalé un peu partout, et j’en suis très fier.
Mon blog c’est surtout du descriptif, tout ce que je peux mater ou conseiller, des petits posts thématiques « net/télé/tendances » et j’essaie par la même occasion de partager un peu la culture geek « profonde » qui est vraiment absurde et hilarante au possible. Y’a une vraie culture « internet » qui se développe et qui déteint sur le reste, c’est réellement intéressant.
Mes fails, c’est un peu trop long pour les lister.


2. Une petite musique pour accompagner tout ça ?

Bien sûr ! Et même une petite playlist, autant faire les choses en grand, comme tout bon mégalo qui se respecte.







3. Quel aspect philosophique des mitochondries aimerais-tu partager avec nous ?

Et bien, les mitochondries, c’est la vie. C’est cosmique. Tina Arena a bien compris cet état de fait quand elle a composé la plus belle chanson du monde, « Aimer jusqu’à l’impossible » dont je vous rappelle le refrain :

« Aimer jusqu’à l’impossible
Aimer, se dire que c’est possible
D’Aimer d’un amour invincible
Aimer jusqu’à l’impossible
C’est possi-bleuh »

Faire rimer « possible » et « impossible » dans un refrain aussi sophistiqué, ce n’est plus une chanson, mais une réponse à tout. C’est le sens de l’univers, nos raisons de vivre etc. Donc Tina Arena>42>Les mitochondries, ce qui nous ramène à notre sujet.


4. Si tu ne pouvais visiter qu'un seul blog, lequel serait-ce ?

J’imagine que je devrais faire un peu plus de lèche à l’éditotaku parce c’est un blog texte (les blogs BD sont injustement populaires) moche, austère et pourtant archi commenté. C’est LA référence pour tout geek-otaku qui se respecte. Tu arrive dessus, tu découvre des nouvelles blagues, de nouveaux jeux, tu apprends de nouveaux mots « dont Toddlercon » et tu repars ébahi et satisfait. L’éditotaku c’est le space moutain du geek.


5. Quelle émission de téléréalité regardes-tu sans oser ne l’avouer à personne ?

Des coming-out télévisuels j’en ai pas à faire, il me semble… j’ai clairement avoué mon addiction à Secret Story (même si ça me fait pleurer du sang tellement c’est idiot) j’adore Koh Lanta, Pekin Express, je suis même accroc aux versions américaines de ces dernières. Super Nanny me fascine avec son doigt brandi…après y’a les caricatures de Real-TV genre « Next » que j’ai jamais pu encore mater…

Le pire truc à confesser ce serait « Fear Factor », version américaine. Un show pour sadiques éclairés.


6. Si tu devais appliquer ta faculté d’analyse légendaire sur mon article « Le n’imp porno » que je te conseille vivement d’avoir lu, quelles seraient tes conclusions ?

Que le mec qui a tourné ça s’est juste tapé un fantasme.
Il faut que tu voies la trilogie « La Mutante ». La première fois, on dirait juste des navets, mais le deuxième visionnage fait plutôt penser à des films gentiment érotiques avec des aliens. L’exobiophilie ça s’appelle. Souvent, je me dis que certains films ne sont là que pour combler les fétiches bizarroïdes du réal. Saw, Hostel, les trucs comme ça, je suis sur qu’il y a une dimension érotique dans ces meurtres sophistiqués. Messieurs les réals, arrêtez de vous frapper ! D’ailleurs, dans Irréversible justement, dans cette fameuse scène d’extincteur, bah on voit le réal se toucher parmi les figurants. Bon je m’arrête là, ce paragraphe est glauque.


7. Quels sont tes projets (réels et virtuels) pour 2009 ?

Aïe aïe aïe. J’ai pas mal de choses à reconstruire ou à fixer. Déjà, trouver un vrai projet professionnel, il serait temps.
J’adorerais aller à Londres…ou aux States… ou au Japon… et assister à un concert des Flaming Lips, le seul groupe où le chanteur marche sur le public dans une bulle géante en plastique.
Tenir un rythme régulier en élargissant (…) mon cercle de bloggeur petit à petit, devenir célèbre, ramasser des millions à prendre la tête de Dassault.
Défi personnel : obtenir une dédicace de bloggeur BD « connu » dans laquelle je roule un patin à Bender.


8. Défi : réaliser 3 minutes de Mario Maso… sans mourir !



Mais dans la vraie vie, je n’ai pas ce ton là :P la concentration me fait dire n’importe quoi n’importe comment.


9. Quel est l’événement de ces derniers mois où tu t’es dit « Ah ce serait génial pour mon blog ! » mais que tout compte fait, tu n’as pas publié, par peur de te foutre la honte ?

Ma vie ne serait passionnante que dans un script de série ^^ mais en fait, tu sais que j’aime bien farfouiller la toile à la recherche de petites pépites rares. Et ça fait longtemps que je me dit que je devrais faire une saga sur tout le porno bizarroïde du web, qui trouve parfois des origines historiques et culturelles (hé si, hé si.)
Règle 36 de l’Internet : Il y a toujours plus bizarre que ce que tu viens juste de voir.
On apprend vite que n’importe quoi (dont le pire) excite toujours quelqu’un, et un site y sera toujours dédié dans cette optique. Mais évidemment, si j’ai cette pensée, c’est pas pour rien :P (d’où la honte. Bouh.)


10. Ton pseudo a-t-il une signification cachée ?

Là j’imagines que tu voudrais que je te sorte une interprétation Freudienne… et non ! Pas de connotation phallique. J’adore la bédé de Mandryka, et tout l’humour absurde qui s’y attache. Le plus fantastique dans cette histoire c’est que cet auteur a réussi à créer tout un vocabulaire pour son personnage, un peu comme avec Agrippine. L’humour des années 70, c’est bonnard.


11. Comment et pourquoi as-tu commencé à blogguer ?

Flash-back : Juillet 2006… je suis un jeune kikoolol en quête d’amouuuur et de célébrité. J’étais fasciné par les blogs texte qui pondaient des articles basés sur les petites inspirations de la vie quotidienne. Je trouve ça formidable ce changement d’anecdotes inintéressantes en notes hilarantes. Peut-être que les bloggeurs sont des gens qui s’ennuient trop. En tout cas, j’ai pris la TV pour base, et je me suis mis à pondre des petites bribes de ce qui me traversait par la tête. Après un gros vide, j’ai repris la chose il y a une petite année. Je suis content de l’avoir fait, parce que quand je relis les premiers, j’ai peur…


12. Quelle maladie psychologique te correspond le mieux ?

Facile. Je suis complètement bipolaire. ^^ Demandez à l’autre, là, au lycée il m’apellait « maniaco-dépressif » et je suis franchement angoissé…
Un test sur Facebook m’a fait découvrir ma propre nécrophilie cachée… et là je dit OBJECTION !


13. Si tu ne devais garder qu’une seule note de ton blog, laquelle serait-ce ?

Mon premier post de l’année 2008-2009. Je ne raconte pas grand-chose d’intéressant dessus mais le fait de l’avoir appelé « La brigade du vagin » en référence Secret Story me rapporte des entrées tout les jours. Mwahaha. (N’oubliez pas que le bloggeur est par définition un affreux matérialiste) et c’était l’une des rares notes que j’avais « préparée » à l’avance, parce que dans l’absolu, aucune de mes autres notes n’est jamais terminée, je les poste quand j’en ai marre, même après trois lignes. (Réponse alternative : la chaîne Fun Facts de début Octobre, avec plein d’anecdotes croustillantes)


14. Quelle est LA question qui manque à cette interview (bien qu’elle soit déjà parfaite) ?

« Quelle relation sordide …. » …non
« Ta haine des canalblogs a-t-elle trouvé une justification dernièrement ? »


15. Comme apparemment ça a manqué la dernière fois :
S’il te plaît, dessine-moi un pénis.

QUELLE DEBAUCHE !


mercredi 4 février 2009

Du plaisir de travailler


LE TITRE DE OUF !!!

Aurais-tu pensé qu'un jour, je puisse dire une chose pareille ?

Moi pas.
Jamais.

Et pourtant...


Samedi, chez Ikea, nous avons aussi acheté ça :




On parle de la chaise.

En plus d'être d'un esthétisme tout à fait exceptionnel, son confort est... juste parfait.

Une soirée entière devant l'ordinateur et j'ai même pas mal au dos.
Merveille de la technologie moderne.

Ceci était la note inutile du mois.

Mais j'en profite pour mettre deux choses au clair :

Le premier qui dit que mon bureau, c'est le bordel, je lui envoie la chaise dans les omoplates.

Et sinon, si tout va bien, demain, ça risque d'être... intéressant. :)

mardi 3 février 2009

No car, no problem


J'aurais pu commencer par un historique de ma vie avec les voitures.

Mais non.

Ce serait long et compliqué, alors qu'il suffit de dire que moi et les bagnoles, on a une relation particulière. Très particulière même.

3 sont passées entre mes mains. En moins de 5 ans. Un seul décès naturel.

Depuis 4 ans, j'ai gagné en sagesse, je vais à pied.

Pourtant, il est certaines choses pour lesquelles la voiture reste indispensable.

Parmi ces excursions, je citerai allègrement Ikea. Où nous sommes allés samedi.

Ikea fait partie de ces escapades régulières, mais pas trop, dont je ne saurais me passer. Deux fois par an, au moins, je suis irrémédiablement attirée par les étalages de meubles, de tissus, d'accessoires et de décoration. Voudrais-je y résister que je n'y parviendrais pas.

A tel point que j'emprunte la grosse voiture du boulot pour m'y rendre.

A chaque fois, le même stress s'empare de moi. Allons-nous arriver en vie à destination ? Reviendrons-nous sains et saufs à notre point de départ ?
En résumé, les appréhensions normales d'une personne qui ne conduit qu'une fois tous les six mois.
Plus je stresse, plus je me concentre, plus j'omets certains détails.

Arrivée à Ikea, après une bonne heure de route.
Soulagée de nous voir en pleine santé, je me jette dans le centre tel un ogre affamé. Deux heures plus tard, on passe en caisse, on paie, on sort, on charge le véhicule.

Cinq minutes plus tard, pause cigarette oblige, je me mets au volant et remarque, très naïvement :
"Ah tiens, j'ai laissé les phares allumés."
20 secondes plus tard, je me répète :
"J'AI LAISSE LES PHARES ALLUMES !!!"

Clic.
Curieux son pour un moteur qui démarre...

A une heure de route du point de départ, sur un parking bondé, Zia a réussi à décharger la batterie de la voiture qu'elle a emprunté à son employeur.
Jolie performance.

Moi-même et ma blondeur, toutes deux paniquées, tentons le tout pour le tout et allons demander de l'aide au service clients du centre commercial.

Un technicien finira par venir avec un appareil de démarrage, après un quart d'heure d'attente.
Petite attente où j'ai désespérément cherché le levier pour ouvrir le capot.
En désespoir de cause et complètement anéantie par ma propre stupidité, je finis par appeler le concierge, principal conducteur du véhicule.

On trouve le levier, on repart.

"Ne pas caler. Ne pas caler. Ne pas caler. Ne pas caler. Ne pas caler. Ne pas caler."


Rentrés à bon port, je me dis qu'on pourra oublier cette histoire.

C'est bien sûr sans compter mon très cher homme, qui saura rappeler à mon bon souvenir cette mémorable escapade et le concierge, dont j'attends encore les moqueries.


lundi 2 février 2009

[MFT] Aventures et déboires


Cela fait déjà quelques années que je fais des petites traductions ça et là, dans divers domaines (principalement l'informatique) pour différentes boîtes.



Un de ces mandats consistait à traduire les questions posées au service technique d'une plateforme organisant un jeu d'investissement boursier.
Rien de bien folichon, les questions étaient surtout liées à la plateforme en elle-même.

Un jour, le responsable me téléphone et me demande si, dans l'urgence, je peux lui traduire quelques pages de SMS publicitaires à l'intention des inscrits.
Je sentais bien que quelque chose clochait dans sa voix.
Après une hésitation assez marquée, il ajoute :
"Euh... en fait, vous voyez, il y a une page avec des SMS... un peu spéciaux. Vous êtes pas obligée de les traduire si vous ne voulez pas."

Je reçois le fichier, je me jette sur la page en question.
L'affaire est assez simple à comprendre.
Après une intense réflexion sur l'éthique de la chose, je me suis dit que bon, j'allais le faire, pour cette fois.
J'ai donc dû traduire des mots tels que "rasée", "forte poitrine", "disponible 24h sur 24h".

Cette fois-là, j'ai bien tergiversé 2 jours avant de me décider. En traduisant ces lignes, je soutenais indirectement la prostitution. Ethiquement, j'ai eu de la peine.
Mais ça me fait un truc à raconter aujourd'hui.


Beaucoup plus récemment, dans le cadre de ma formation, j'ai eu à traduire un article publicitaire pour une nouvelle représentation de la comédie musicale "Hair".
Pour être sûre de ne pas dire de bêtises, je fais une rapide recherche.
Je n'ai jamais vu ce spectacle et ne m'y étais jamais plus intéressée que ça.

Bien que le sujet soit assez évident, j'ai tout de même été assez surprise de découvrir qu'une des chansons était intitulée "Sodomy".



L'allemand aime les anglicismes. Beaucoup même.

A la fin du texte, certains éléments indiquaient la première représentation et d'autres informations quand à la comédie musicale.
L'intitulé était : "Facts and figures".

Dans les cas des expressions établies comme celle-ci, il est impératif de trouver l'équivalent dans la langue cible.
Parfois, la recherche peut s'avérer compliquée, mais souvent instructive.

Dans ce cas précis, je suis tombée sur le site www.don-juan.ch.
Présentation :
Notre site Don Juan propose des informations et des conseils simples et accessibles pour des rapports sexuels sûrs avec des prostituées.


Comique de situation : racontant cette découverte forcée à ma prof, elle me confie que c'est elle qui a fait la traduction du site.

Je me suis sentie rassurée. Surtout en voyant cette page.

Comme me le faisait souligner quelqu'un, et à juste titre, on trouve toujours pire, hein ? ;)

vendredi 30 janvier 2009

Le n'imp yaoi


Si là, tu te dis que Zia elle a mis des lettres un peu au hasard en tapant frénétiquement sur son clavier, tu risques d'apprendre des choses que tu ne voulais pas forcément savoir dans cette note.

Sinon, tu sais à quoi t'attendre.


Ca risque d'être un peu long à mettre en place, mais ça vaut la peine parce que à la fin, figure-toi qu'il y a un dessin.




Je ne suis pas une "enfant de la télé". Née en 79, c'était déjà bien trop tard pour ça. Alors à défaut, je me définirais plutôt comme "bébé Dorothée".
J'ai grandi avec Bouba, Dragon Ball (qui a été supplanté par Pokémon, encore une histoire de boules), Albator, Goldorak, Capitaine Flam et tous les autres.
Je n'ai pas honte d'avouer que j'ai connu mes premiers émois de jeune fille pré-pubère avec Shiryu, le resplendissant chevalier du Dragon dans "Saint Seiya" (les Chevaliers du Zodiaque à l'époque).





Il est sans doute à l'origine de mon fantasme du mec aux cheveux longs, que j'ai fini par réaliser 20 ans plus tard.



Depuis une bonne dizaine d'années, on trouve les mangas dans les librairies. J'ai petit à petit découvert un monde rempli de choses étranges et fascinantes.

En m'intéressant de plus près, je finis aussi par m'habituer aux concepts de shonen, seinen, shojo, etc.


Mardi, 20 janvier 2009, journée à marquer au stabilo rouge sang sur le calendrier, date à laquelle je compris que je ne verrais jamais plus les mangas avec le même regard.
Je me promenais allègrement sur internet, alors que je m'accordais une pause du boulot et de Sainte Rita, et au détour d'une page, je tombe sur le mot "yaoi".
Mais qu'est-ce que c'est ?

Google est ton petit chien fidèle qui va chercher ce que toi tu ne comprends pas. En l'occurence, la définition wikipédia :

Le Yaoi (やおい) est un sous-genre des mangas et animes, le plus souvent pour filles, dans lequel l'intrigue est centrée autour d'une relation homosexuelle entre personnages masculins, et comportant des scènes sexuelles.


Première phase de doute.

Relation homosexuelle entre hommes, décrite pour les filles, les auteurs étant le plus souvent des femmes.

Euh ?


Premières recherches d'images.

Nan, je comprends pas.
Quel intérêt, pour une fille, de voir deux mecs se faire des trifouilles ?


Dans un souci de compréhension scientifique, je pousse la recherche toujours plus loin.

Les illustrations yaoi vont du très soft, comme par exemple :



... au beaucoup plus "cru", mais je te laisse le soin de chercher si tu veux (message privé : non, j'ai pas osé ;)).

Les effets pervers de cet après-midi recherche et découverte n'ont pas tardé à se faire sentir.

Avant même que je ne puisse m'en apercevoir, il était trop tard.

Des images affreuses se bousculaient dans ma tête, toujours sur le devant, là où devrait normalement se trouver ma conscience.
Rien à faire, c'était là, indélébile et, quand même, assez perturbant.

D'où le sors de ma tête ! SORS DE MA TÊTE ! SORS DE MA TÊTE !!! SORS DE MA TÊTE !!!!! que je martelais à qui mieux-mieux durant les jours qui ont suivi.


J'en étais arrivée au point où il fallait, à défaut de comprendre le succès grandissant de ces mangas, m'exorciser.

On dit qu'il faut traiter le mal par le mal.
J'ai donc tenté l'overdose... Mais rien n'y fit.

Jusqu'au moment où je tombe sur le blog d'une jeune fille fanatique de ce genre et qui conseille divers titres. L'un d'entre eux était considéré comme "incontournable". Ni une, ni deux, je vais voir le monstre (oui, on trouve vraiment tout sur internet)(si ça t'intéresse, je peux te donner le nom de la bête et une adresse où aller le lire).

Petit à petit, une pointe de compréhension s'insinue en moi.

L'amour "impossible", l'amour caché, le fait de s'assumer etc. etc.


C'est pas pour autant que je comprends mieux en quoi voir deux hommes nus dans un lit en train de faire des choses pour le moins acrobatiques peut intéresser des jeunes filles. Ca doit être un concept japonais...


Malgré tout, ça me poursuit. Je pense que je ne m'en déferai jamais. Mais tant pis. J'assume. Et je dessine...






(Clic pour plus grand)

Hin hin hin.
Zia a fait son
propre yaoi.

On reconnaîtra Byakuya Kuchiki et Gin Ichimaru, deux capitaines du manga Bleach. A la base, Byakuya est plutôt sensé se retrouver avec Renji Abarai et Gin avec Sōsuke Aizen. Car oui, les couples sont presque officiellement déjà formés. Mais j'avais pas envie de faire comme tout le monde et comme c'est aussi un private joke, voilà.




Je vais arrêter ici cette longue épopée de ma descente aux Enfers mangaiens.

Par contre, souviens-toi de Byakuya et Gin.
Parce qu'ils vont revenir.


jeudi 29 janvier 2009

La soirée cheap


Aujourd'hui, malheureusement, pleure pas trop fort surtout, ya pas de "Micro sous la Gorge".


Pourquoi ?

Allez, on se connaît bien maintenant alors je peux te le dire.

Tout simplement parce que je suis une grosse feignasse.

Mais la semaine prochaine, va y avoir du lourd. Seb et sa courgette vont pouvoir aller se rhabiller (il serait temps).


Pour compenser, je vais te raconter ma soirée d'hier.

Toi, au fond, je t'ai vu, tu dis pas "oh non" en plein cours magistral, tu sors.


On peut reprendre ?
Merci.


Soirée girly !

Première étape : jacuzzi, sauna. Moment détente, wellness, relax, zen.
Arrivée sur les lieux, le chef nous accueille, visiblement stressé.
"Le jacuzzi n'est pas prêt, l'eau est pas assez chaude, la stagiaire a pas fait ça assez tôt".

Mouais...

"Nan mais vous allez pas payer."

Ok.



Etape suivante : petit repas agréable dans un restaurant très fréquenté.
On patiente 2 minutes qu'une table se libère et on passe commande.

Une demi-heure après, toujours rien.

Après avoir fixé un long moment le serveur, il semble remarquer qu'il a légèrement oublié quelque chose.

30 secondes plus tard, il déboule à notre table, tout confus et nous avoue qu'il a oublié notre commande.
"Je vous offre les plats".

Euh... Ok !



Bilan : ma très charmante compagnie a payé les 2 boissons du repas.
Personnellement, j'ai payé les 2 cafés.



Le pire ? C'est moi qui a dépensé le plus.
(Je ne mettrai pas de smiley qui tire la langue, mais c'est pas l'envie qui manque "smiley clin d'oeil")


mardi 27 janvier 2009

Ah ben ouais ben forcément ben c'est sûr que ça pouvait pas aller comme sur des roulettes...


A peine que je pensais que ça commençait à aller mieux, à peine que je me retrouve un peu comme ça :





Outre le reste, c'est quand même fou ce qu'on peut trouver sur internet...


lundi 26 janvier 2009

Schshshsh again


Pour des raisons diverses et variées, le blog sera crypté cette semaine.

Peut-être que vendredi, ça reviendra en clair.

Peut-être que non.

D'ici là, portez-vous bien.

vendredi 23 janvier 2009

Happy note


J'aime le vendredi soir.


La ville se remplit d'odeurs, de bruits, de voix, de gens.

Au loin, on entend le moteur de la voiture surpuissante du jeune homme post-pubère qui espère compenser son complexe de petite bite avec un gros engin rugissant.

On sent les hormones de la femelle en chaleur qui espère se faire sauter pour avoir l'illusion, rien qu'une nuit, d'être aimée et d'exister.

On renifle les phéromones des mâles en rut qui espèrent fourrer ce soir, pour se vanter auprès des potes et ajouter une brebis, même galeuse, à leur tableau de chasse.

On fronce le nez à côté du vieux qui a passé son après-midi à s'enfiler des bières et qui s'est pissé dessus en oubliant de mettre ses couches.

On déglutit péniblement devant la petite vieille qui a joué au loto pour se donner l'impression, durant quelques heures, qu'elle n'est pas si seule.

On suffoque avec tous les parfums à deux balles de ces gamines trop jeunes pour sortir et dont l'éducation sexuelle consistera à se faire baiser sur la banquette arrière d'une voiture nauséabonde.

On entend tous ces gosses gueuler plus fort que leur tête ne peut supporter, dans l'espoir dérisoire que quelqu'un les écoute.

On regarde en douce ce quadra qui se dit que tiens, il se taperait bien une ptite jeune ce soir. Ca fait longtemps qu'il n'a plus eu de viande fraîche.

On remarque la jeunette, toute pimpante et fringante qui se dit que ouais, le vieux là, ça fera bien chier son père si elle se l'envoie.

On voit soupirer ce travailleur étranger qui s'est entendu dire toute la journée qu'il n'était qu'une merde bonne à retourner chez lui.

On discerne cette femme qui gémit parce que son fils la traite de vieille pute et lui a balancé une canette de bière à la figure.


Oui, décidément, j'aime le vendredi soir en ville.

Je ne rêve que d'une chose. M'enfoncer dans les profondeurs de l'océan, rejoindre ces fossiles sans nom qu'on ne découvrira jamais et écouter le silence, voir la nuit et sentir le néant.

Devant toi, je souris.
Regarde ailleurs et mes lèvres retombent.
J'ai même appris à mettre de la lumière dans mes yeux, du sang dans mes joues, de la joie dans ma voix.
Tourne les yeux et mes épaules s'affaissent, mes jambes se plient et mes pieds se trainent.


Regarde moi.

Tu vois ?
Je ris.

Le n'imp pornooooooo


Allez, avoue que tu l'attendais depuis longtemps ce n'imp.
Je ne t'en tiendrai pas rigueur.



Interlude débutatoire :

Pas de photos, pas de vidéos, faudrait voir à pas pousser mamie dans le champ de vibromasseurs. Il n'y aura qu'un petit lien vers l'image que j'ai "préféré" dans l'histoire (très poussée, d'ailleurs) et un nouvel avertissement accompagnera cette photo.

Interlude finitationné.


D'abord, l'histoire du début du comment du pourquoi du quoi du qui du où.

On a ce qu'on appelle communément une "mediabox".
Elle permet de voir plein de chaînes télé.
Ya même un guide que quand tu vas le voir, ça te dit les programmes pour la semaine à venir.
Ca affiche même les chaînes dont on a pas accès (parce qu'il faudrait payer en plus), donc ces 5 chaînes "adulte" (Dorcel TV, Hustler Canal etc... pas besoin de te faire un dessin. Pas cette fois du moins).

De temps en temps, pour bien me marrer, je regarde les titres des films à venir sur ces chaînes.

Comme je l'avais déjà évoqué ici, je m'éclate comme une folle à découvrir l'imagination fertile des titreurs de films X.



"AAAAAAAAHHHHH !!!!"

Voilà en substance ma réaction à la vue du titre qui passait vers 00h30 ce vendredi soir là.

"Porn of the dead"


En tant que fan inconditionnelle des zombies, des ghoules, des loups-garous, des vampires, des mutants dégueulasses et de toutes ces choses qui sont censées faire peur aux tits n'enfants, j'ai frôlé la crise ventriculaire (merci Greg) en lisant ces mots.

"Porn of the dead"

Un film X avec des zombies.

Ouais.

Noooon ???

TROP FORT !!!

JE DOIS VOIR CE TRUC !!!

Autant dire que mon homme a encore de la peine à le croire...

Après quelques recherches, je me retrouve en train de me procurer mon premier film X. Le tout premier.
J'écrase une larme d'émotion.


Bon, je l'ai, c'est le moment d'appuyer sur play.

Pour casser le mythe (si tant est que tu te faisais des films quant à ma sexualité), j'ai passé le film en grande partie en accéléré.
1h40 de ça-va-ça-vient (tu te dis, mais qu'elle est vulgaire ! Je te dis : révise tes classiques, retourne voir Orange Mécanique. J'ai de la culture moi) passés en environ 10 minutes.

J'en viens à la "critique".

Déçue je suis, mais je m'y attendais.
Le "réalisateur", un certain Rob Rotten (chapeau pour la trouvaille du nom), aurait pu faire mieux.

Un bête film de cul, avec des zombies grossièrement maquillés.


Je n'en retiendrai que ça : ATTENTION ! L'IMAGE PEUT CHOQUER ! Si tu cliques, viens pas te plaindre après, je t'aurai averti : lien.


Mais je rumine, je rumine...
Si seulement quelqu'un comme Gaspar Noé ou comme Asia Argento s'intéressait à ce sujet, ça aurait pu être beaucoup plus intéressant. Avec un point de vue potentiellement énormément plus gore (Gaspar Noé = Irréversible ; Asia Argento étant le fille de Dario Argento, célèbre réalisateur de films d'horreur italiens et elle-même versée dans le cinéma underground).


Donc oui, c'est maintenant officiel.

Je suis bizarre. J'assume.
Du moins, c'est ce que je me dis...





Petit teaser de vendredi prochain. Le sujet sera nippon (fin si on veut hein). Dans l'idéal, yaura un dessin qui va avec (je vais me surpasser, à bien des niveaux).

Ce que j'ajouterais, juste pour te faire envie, c'est :

Sors de ma tête. SORS DE MA TETE. SORS DE MA TETE ! SORS DE MA TETE !!!

On va dire que c'est hormonal...

jeudi 22 janvier 2009

Le micro sous la gorge de Seb

Aujourd'hui, comme tous les autres jeudis....

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Mais ce jeudi n'est en fait pas un jeudi comme les autres.

Cette semaine, c'est du lourd.

Notre cher ami Seb s'est comme qui dirait lâché.

Bon, on y a peut-être été un peu fort sur les menaces et tout, et notre blog-bédéiste s'est comme qui dirait vengé...

Enfin, il a surtout dévoilé ses fantasmes les plus inavouables nous concernant...

Nous insistons donc clairement sur le fait que oui, nous avons usé de tous nos talents pour le faire parler, mais non, nous ne cautionnons absolument pas les dessins nous exposant dans des situations peu orthodoxes.

(Clique sur les images pour voir tout ça en grand. Hum. N'en fais pas un poster dans ta chambre, non plus.)

Que ce soit clair, entre vous et nous.

(Et attention à ceux qui oseraient faire des commentaires désobligeants...)

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1. Ton blog, en résumé


D'un côté, c'est un espace d'expérimentation personnel de dessin car je varie pas mal les styles, je me cherche toujours un peu (et c'est bien, je pense, de ne pas se reposer sur ses acquis). D'un autre côté, c'est une sorte de journal illustré, semi-fantasmé de ma vie (comprenez que tout n'est pas ultra véridique à chaque fois). Et enfin, c'est aussi un moyen de me faire connaitre dans ce que je fais en dessin (voilà ce que donne le classique "c'est vachement bien ce que tu fais, tu devrais essayer de te faire connaÎtre !" des amis et de la famille) et voir peut-être plus loin !

Euh… c'est assez résumé là ?

2. Quel dessinateur de Bande dessinée a le plus influencé ton style ?

Comme pas mal de gamins de mon époque, j’ai été élevé avec Tintin, Astérix et Lucky Luke. Pourtant je crois n’avoir vraiment rien pris, ni à Hergé, Uderzo ou Morris.

Non, ma première vraie claque bédéistique je l’ai reçu vers 95-96 et je la dois à Olivier Vatine et à son travail sur la série de L’héritier de l’empire tiré de Star Wars. J’ai à l’époque totalement revu ma façon de dessiner (en lui empruntant au passage le plus possible). Puis j’ai découvert sa série Aquablue qui a la même puissance graphique quand c’est lui qui dessine. J’ai un peu retrouvé de son style chez Barjam dans l’excellente série Universal War One que j’invite tout le monde à découvrir.

Un autre personnage important pour moi est Bill Watterson, l’auteur de Calvin et Hobbes qui reste pour moi un classique dans l’efficacité du dessin, ce type arrivant à raconter tellement de choses avec une telle économie du trait que ça force le respect.

Je me dois aussi de citer Artur de Pins que j’ai découvert dans Fluide Glacial et, grâce à qui, je me suis remis au dessin (que j’avais pas mal délaissé) en 2006, ce qui, m’a ensuite motivé à ouvrir mon blog BD. On retrouve certainement encore parfois du De pins dans certaines de mes réalisations

Ah, et si je ne devais garder que deux blog-bédéistes que j’adule aujourd’hui, ce serait Boulet, dont je viens de dévorer les 2 tomes de Notes en 2 jours et Margaux Motin qui a complètement bouleversé ma façon d’envisager le dessin de corps humains dans des positions improbables (cette fille a un talent fou).

Pour finir, n’oublions pas que celle qui me motive à continuer dans le dessin pour m’améliorer sans cesse, ma muse artistique est évidemment Zia sur son blog Mince de mine.

3. Si tu te métamorphosais en virus, lequel serais-tu ?

Je ne sais pas si il existe ou si c'est le cas, quel est son nom, mais je serais forcément un virus qui fait dormir ! J'adore ça, bien que je ne le fasse que trop peu (4-5 heures en semaine).

4. Si tu ne pouvais visiter qu'un seul blog BD, lequel serait-il ?

Comme dit plus haut, celui de Boulet, sans hésitation (Zia ne met pas le sien à jour assez souvent)

5. Une idée pour recycler les rognures d'ongles?

Les collecter, le piler en une fine poudre et les revendre sur internet comme poudre miracle contre les pannes sexuelles. Et accessoirement devenir riche grâce à ça.

6. Quels sont tes projets pour 2009, d'un point de vue blog bédéèsque ?

J'ai d'abord des objectifs : m'améliorer dans le dessin, être régulier et productif dans la publication de notes, plaire à mon "public", faire en sorte que plus en plus de monde vienne voir et aime mon blog (ce en quoi je rejoins na! dans sa quête de la célébrité), creuser mon trou quoi.

Pour ce qui est des projets, pas grand choses dont je peux parler aujourd'hui. Je ne m'attends pas à me retrouver au Festiblog ou sur blogbd.fr cette année (ni même la suivante). vu que je réalise en ce moment même ma toute première interview (sympa à vous d'ailleurs), je commence à caresser l'espoir d'avoir un jour mon premier fan art !

Et, puisque je sens que tu veux du scoop, du croustillant, de l'inédit, je peux révéler ici en exclusivité qu'un de mes –petit- projet secret devoir voir le jour dans ces prochains mois. Ca me demande du boulot mais j'ai un celais que j'aimerais tenir, en tout cas, je suis très enthousiaste. Mais vous en saurez plus en temps utiles !

Sinon j'ai un ou deux autres "gros" projets dans mes cartons mais pas toutes la latitude que je voudrais pour les réaliser.

7. Souhaiterais-tu adhérer au SPC ? (Société Protectrice des Cafards)

Etrange coïncidence, j'ai regardé hier soir "Men in black" et ceux qui se souviennent du film comprendrons que je ne veux surtout pas adhérer à ça et que je souhaite chiasse et bras courts à tous ses membres.

8. Défi : production d'un dessin comportant : poêle à frire, Seeeeb, courgette, nuage rouge et la phrase : « j'aime me faire frapper »

Ouch >_<

Un défi aussi tordu me permet de laisser s'exprimer mes instincts les plus bas. Et de faire, non seulement une proposition politiquement incorrecte mais aussi une proposition encore plus incorrecte 'que j'aurais pu appeler "La revanche").


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9. A quoi ressemble ton espace de travail, à la maison ?

Beyrouth. Je fais mes crayonnés et mon encrage à peu près n'importe où (voire parfois vraiment n'importe où) mais, concernant mon "poste informatique", que ce soit à la maison ou au boulot, c'est un foutoir sans nom à chaque fois.

Actuellement, ça ressemble à ça :

bureau.jpg


10.Quel est le dessin le plus étrange que tu aies fait ?

Je crois que le défi de la question 8 se place en tête…

11.Pour te détendre, tu es plutôt bain de pieds ou saut en parachute ?

J’adorerais sauter en parachute, mais, vu les difficultés logistiques, je me vois contraint de choisir le bain de pieds.

12. Peux tu nous révéler, en exclusivité, et nous décrire en quoi consiste ton côté féminin ?

Chaque jour, je me bats contre les préjugés et les clichés sur les mecs : je baisse la cuvette des toilettes, je fais en sorte du toujours nettoyer mes poils de barbes après un rasage, je fais les courses, cuisine fait la vaisselle (moins depuis qu’on a un lave-vaisselle mais bon) et je fais même le repassage ! En gros j’essaye d’être un anti-macho.

Ah oui et je pleure quand je regarde Deep Impact.

12. Qu'est ce que tu n'arrives pas à dessiner, et qui t'énerves au plus au point ?

T
outes les structures complexes de bâtiments ou de véhicules, par manque de patience souvent (sinon, ce serait p’tet à ma portée) et les paysages trop détaillés pour les même raisons.

A une époque, j’avais beaucoup de mal avec les mains mais j’ai beaucoup travaillé et ça va mieux.

Sinon, comme beaucoup, je fais toujours en sorte de ne pas avoir besoin de dessiner, ni voiture, ni moto, ni cheval.

13. Quelle question ne souhaiterais tu pas que je te pose ?

"Qu'est-ce que l'univers ?" (les initiés de François Pérusse comprendront)


mardi 20 janvier 2009

Chchchchch...







Encore...

Pas grand-chose à raconter.

Tu t'ennuies ? De moi ?




vendredi 16 janvier 2009

Le n'imp qui fait psssssssss


Mercredi 7 janvier.

Autour d'une bonne fondue, ça discute.

Pour une raison encore indéterminée, la conversation dévie sur le pipi et la capacité respective de mon amie et moi-même.

Force est de constater que je tiens bien plus longtemps qu'elle avant d'aller au petit coin.

"Et pis j'te jure, je suis capable de te faire de ces quantités ! Ouais, au moins un litre quoi !"

Mon homme, accessoirement médecin, intervient pour dire que non, c'est pas possible, c'est maxi 500 ml, sinon c'est pas normal.

"Normal ou pas normal, j'm'en fiche, c'est comme ça, je te promets !"

Mon amie me regarde et lance le pari.

Défi : produire 1 litre d'urine, en une seule fois, bien sûr.

L'enjeu ? Un simple café viennois, mon médecin de copain ayant réussi à installer le doute en moi. Par peur de me surestimer, je n'ai osé parier plus.

Le pari en lui-même suffirait à en faire une note n'imp du vendredi. Mais bien sûr, lecteur extrêmement intuitif, tu te doutes que :

1 : Ca ne s'arrête pas là
2 : C'est pas pour rien que je me ridiculise en parlant de la capacité de ma vessie


Eh bien oui.
Pari tenu, j'ai gagné !

Je me découvre donc un super-pouvoir. En plus de la production urinaire dont je peux me targuer, je bénéficie d'un avantage époustouflant sur les autres. Du matin jusqu'au soir, je peux très bien me passer des cabinets, ce qui peut s'avérer fort pratique suivant les situations.

Me voici promue Super-Pisseuse !

Non, malheureusement (mais c'est pas l'envie qui manque), il n'y aura aucune photo ni vidéo pour appuyer mes dires. Par contre, je n'ai pas résisté à la tentation d'en faire un joli petit dessin.



Clique sur la petite image pour la voir en grand sur Mince de Mine.


P.S : Si, par hasard, tu faisais partie des rares personnes à avoir lu mes lignes prévenant d'un N'imp porno, ne t'inquiètes pas, ce n'est que partie remise pour la semaine prochaine. Tu verras, ça va être bien.

jeudi 15 janvier 2009

Le micro sous la gorge de ... Ilpalazzo !





Zia, pour ton plus grand plaisir, a décidé, cette semaine, d'interviewer quelqu'un qui ne la connaît pas.
J't'explique même pas comment c'était compliqué.

Il s'est battu, s'est défendu, s'est rebiffé, s'est laissé faire pour se rebeller encore une fois.
J'ai dû user de toutes mes ressources et de tous mes instruments rouillés pour le faire passer aux aveux.

Ma victime, friande de massues cloutées et de vierges en fer, même s'il ne crache pas sur un bon vieux fouet, se nomme Ilpalazzo. Oui, t'as bien compris, tu cliques sur son nom pour voir son blog, où c'est qu'il dessine en plus !




1. Ton blog et toi-même en résumé ?


De la flemmardise,

du pas talent,

de la procrastination,

de la lose high level,

des trucs complètement à l'arrache,

de l'otak et du geek mais

pas tant de poulpe que ça!

hum... c'est même pas un résumé, ça, c'est une liste de course!


2. Comment définirais-tu ton style de dessin ?

Ha! Cette technique ancestrale de dessin m'a été enseignée par un prêtre shaolin aveugle et manchot dans une montagne sacrée du fin fond du jura! C'est la technique dite du "à l'arrach'" qui a le double mérite de te faire gagner du temps et de te dédouaner totalement quant à la qualité graphique de ton œuvre :D Cette technique marche hélas de moins en moins... au bac, par exemple...


3. Tu aimes les ténias ?


Carrément! Quasiment autant que les paresseux,d'ailleurs. Si on pouvait faire un croisement...


4. On sait tous que tu es à l’IUT. Malgré cette filière technique, as-tu des projets précis au niveau artistique ?


Je rattrape boulet, je le détrône et je domine la blogosphère! mouahahaha!

En fait, si j'ai choisis de faire un post par jour, c'était juste dans le

but de m'améliorer. Boulet, c'est en bonus. Pas d'autres projets.


5. Selon toi, quelle est ta plus grande, ta plus fantastique, ta plus irrésistible qualité ?


Je suis tres bon pour conseiller du porno!

les jeunes de mon quartier confirmeront,


6. Y a-t-il un dessin que tu n’as jamais osé publier sur ton blog ?

Plein. En premier lieu, tout ceux que j'ai pas scanné... Parce que déjà à ce stade j'avais trop honte...

et puis, y'a ça...


j'l'avais fait dans l'optique de le poster lors de l'open donjon du donjon des mouettes mais ...

la flemme! j'ai jamais finis l'article X3

(http://donjon-des-mouettes.over-blog.net/)


7. Nous avons tous des secrets. Quel est le film de ta collection dont tu as le plus honte ?


Je suis fier de tout! j'exhibe mes perversions et mes vices!

J'assume mes nanars! Mes bouzes, je les montre! Donc basiquement, j'ai franchement honte de rien. Ce qui ne veux pas dire que ma dvdthèque ne dispose pas de beaux navets...


8. Quelle est la BD qui a le plus marqué ton enfance ?


Heuuuuu, je sais trop pas! j'ai une mémoire de mirde! j'me souviens de quasiment rien à propos de mon enfance. ( a vrai dire, je serais bien incapable de te dire ce que j'ai mangé hier...)

alors une bd marquante? Pas possible, je le crains.


9. Si tu devais réaliser un film pornographique, quel serait son titre ?


Alors là, j'hésite... J'imagine que que j'essayerais a tout pris de faire cohabiter "étudiantes" "amateurs" "tentacle rape"et "personne âgée morte en 14" mais je sais pas si ça tiendra...


10. Quel(s) blog(s) Bd est/sont pour toi la référence en matière de dessin?


Tu veux que je te file les... 320 liens de ma liste de flux RSS? (j'viens de les recompter...) héhé

si j'veux couper dans la foret de liens , je dirais bien pulupulu. c'est grâce a elle que j'ai abandonné le dessin à l'effaceur pour passer définitivement au bic :D J'voulais faire des contours comme elle mais en fait, ça ne s'accorde pas du tout avec mon école de pensée! (voir question 2 ^3^)

(http://yuminette.com/wordpressfr/)


11. Tu baves pendant la nuit ?

Nan, trop pas. Par contre, ma sœur c'est une inondation!


12. Ton défi : réaliser un auto-portrait « réaliste ». Cap ou pas cap ?


Ha ha! Nan! Je n'y arrive absolument pas! U_U J'ai fait trois essais, (dont deux feintes savamment préparées) mais j'y arrive pas T3T j'suis pas cap' ... j'ai un gage?


13. Si tu devais ne choisir qu’une seule musique pour accompagner le premier dessin de cette interview, quelle serait-elle ?


alors, pour la bande son, vous allez tous sur deezer, vous tapez tetris, dans la section video: "game boy tetris - 999,999 points..." :D enjoy!

Lien direct : sélectionner premier résultat.


14. Quelle relation sordide entretiens-tu avec Concombre Masqué


héhéhé. je ne peux rien dire! Sinon, on aurait des problèmes avec la brigade des mœurs, la NASA et la société de défense des animaux morts!


15. Quelle est la question que tu aurais aimé que je te pose ?


Une question piège. Ou alors "loup y es tu?" a la limite...